Débutons cet article stigmatisant par une chose : il est évident que toutes les affirmations qui suivent ne sont pas valables pour l’intégralité des diverses populations et communautés décrites ici. Il existe de nombreuses exceptions, et le but n’est pas du tout de désigner une population ou une communauté pire que les autres ; au contraire, puisque la finalité de cet article est bien de prouver qu’en matière d’environnement, nous sommes toutes et tous à égalité, c’est à dire, des humains qui n’en ont que faire de la nature et de tout ce qui l’entoure, nous mis à part. Mais même si il y a des exceptions, il y a aussi des réalités qui sont aisément prouvables par les faits. A noter que cet article n’est malheureusement pas exhaustif et n’a pas vocation à l’être.

Commençons par les étrangers les plus dans l’actualité : les roms.
Leur plus "haut fait" se trouve bien sûr dans l’état de leur campement, pendant et après leur passage : de vrais dépotoirs, comme le montre ces quelques exemples.

Mais ils ont aussi une grande capacité à voler et à détruire en dépit des propriétés et en dépit des quotas exigés pour le renouvellement des ressources.
Et n’oublions pas leur régime alimentaire particulier, avec, entres autres, la dégustation d’hérissons... Espèce intégralement protégée en France et dans de nombreux pays d’Europe dont ils font fi.
Et leurs rapports à la nature n’est pas le même que le notre. Les cygnes par exemples, qu’on respecte et qu’on ne tue plus depuis longtemps, peuvent être la cible de certains d’entre eux...

Passons aux arabes. Eux n’ont que peu de respect pour leur environnement, la preuve avec le jet d’ordures réguliers de certains habitants.

Plus généralement, les arabes musulmans de par leur religion, n’aiment pas les cochons ni les chiens.
Mais en ce qui concerne les religions, je vous renvoie sur l’article fait spécialement dessus.

Les asiatiques, eux, n’ont souvent pas les mêmes normes d’hygiène que nous et surtout, ont basés la plupart de leurs plats sur les animaux de la mer : ailerons, poulpes (vivants ou non), baleines, dauphins... Avec les massacres qui vont avec, bien sûr.
La soupe de requins est particulièrement destructrice, bien plus que les massacres de dauphins, plus limités dans le temps et l’espace, mais plus médiatisés.

Les africains sont plutôt portés sur le gibier de la brousse et, plus récemment, les insectes, qu’ils n’hésitent pas à importer. Ils peuvent aussi s’attaquer à des animaux qui sont protégés chez nous, comme la cigogne qui finit en civet là bas.

Plus généralement, les pays en voie de développement n’ont aucune gestion des déchets, ils s’accumulent dans les rues qui deviennent des dépotoirs géants. Ce n’est que lorsque le problème devient dangereux qu’on commence à envisager des solutions, comme en Inde, mais globalement, les rues restent très encombrées et la gestion ne prend qu’une petite partie des nouveaux déchets, délaissant les autres dans la rue.

Finissons donc par les européens, car il est facile de critiquer, encore faut-il savoir se remettre en question. Et dans notre quotidien, il y a aussi largement de quoi faire !
Foie gras, corridas (ou les taureaux finissent dans nos assiettes), grenouilles, dindes, chasse... La liste est très longue, rien qu’en France.

N’omettons pas les sujets internationaux, comme les cirques, l’expérimentation animale, l’élevage intensif, mais ces sujets ne sont en rien spécifiques à une seule communauté, hélas... Idem pour les industries, le transport, les montreurs d’animauxou les cultures bourrées de pesticides, OGM ou non.

Non, y a pas à dire : en matière de massacre à la nature, nous sommes décidément tous pareils. On ne peut pas stigmatiser une seule communauté en particulier, puisque toutes sont sources de massacres : sur ce plan, nous sommes à égalité. Mais ce n’est pas vraiment une chose positive...