Certaines personnes vont me rétorquer que je serais raciste du fait de l’origine des pilleurs, bien souvent roumains.

Ce serait faire preuve d’une grande faiblesse d’esprit, car peu importe l’origine des pilleurs, leur nationalité ou leur religion : le fait est qu’ils pillent les forêts.

D’autres me diront alors que, même si ils n’interviendraient pas, d’autres le feront : peut être bien, mais ils le feraient dans la légalité et de façon individuelle, c’est à dire qu’au lieu d’un pillage rapide et en règle, ils se contenteraient de prélever des champignons, sans saccager la forêt.

Enfin, d’autres encore m’expliqueront que si ces roumains ne le ferait pas, les champignons seraient gaspillés puisque non cueillis ; ceux la ne feront que prouver leur ignorance sur l’environnement : une denrée alimentaire n’est jamais perdue, qu’elle ne soit pas destinée à l’humanité n’est de loin pas une perte, bien au contraire, puisque cela nourrira d’autres animaux ou plantes.

Tout ça pour dire que d’année en année, le pillage reprend, largement aidé par des frontières inexistantes, des peines trop légères (en tout cas assez pour qu’elles n’empêchent pas la récidive) et des mafias et autres réseaux sans scrupule et sans crainte de se faire attraper.

La razzia à l’environnement s’intensifie donc et prend possession, après la faune et la flore, de la mycologie. Jusqu’où irons nous dans notre destruction du vivant et de ses ramifications ?