C’est ainsi que fut découvert la chimère à long nez.
Incroyable humanité qui va trouver de nouvelles espèces en les massacrant. Fini les expéditions à la recherche des trésors de la planète, on préfère la souiller jusqu’à remarquer les dégâts qu’on aura causé, puis hypocritement protégé par des textes qui ne seront jamais respectés afin de retarder un peu l’échéance, ou totalement contrôler l’espère en question.

On préfère utiliser les richesses pour toujours plus vendre, plus produire, plus utiliser, plus consommer... Mais la Terre, sa richesse, ses découvertes, plus personne n’en veut. On se contente de regarder nos écrans de télévisions, entièrement lobotomisés à manger des chips et autres tomates tueuses de cachalots, à s’illuminer devant le dernier portable ou la dernière musique à la mode, et ignorant totalement les massacres à grande échelle qui se produise de façon quotidienne, partout autour de nous. Et les merveilles de la nature ? Pensez vous ! On préfère sa terrasse de béton ou on peut siroter son coca et faire un barbecue composé uniquement de viande issue d’élevages intensifs plutôt que ne serait-ce y penser. Ou rigoler devant Serge le lama plutôt que s’apitoyer sur son sort.

La question restante étant : combien d’espèces avons nous anéanti sans même les connaître ? Leur nombre doit être bien plus élevé que toutes les espèces connues et répertoriées à ce jour.