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Les transports en commun polluent aussi
Régulièrement, on nous vante les avantages des transports en commun notamment écologiques. Pourtant, comme tout les secteurs, tout n’est pas si rose.
L’image la plus marquante, celle qui donne envie de prendre les transports en commun, c’est celle-ci :
Et quand on y réfléchit 3 secondes, il est indéniable que les transports en commun sont bien plus écologiques que n’importe quelle voiture. Mais pas toujours.
Sans même parler des inconvénients majeurs que peuvent causer les transports en commun, comme les retards, les grèves, l’insécurité, les accidents ou les dysfonctionnements -qui peuvent aussi arriver en tant qu’automobilistes, mais plus rarement- les transports en commun ne sont aucunement écologique dans un cas particulier : lorsqu’ils sont vides.
Sur la photo, on voit un bus rempli ; lorsqu’ils sont remplis, notamment aux heures de pointes, les transports en commun sont réellement écologiques, diminuant de façon drastique le nombre de voitures et donc, d’essence utilisée et de rejets. Par contre, c’est une toute autre affaire lorsque le transport en commun n’est pas rempli entièrement, ou pire, est vide.
Par exemples, un bus consomme de 30 à 60 litres aux 100, le métro utilise l’équivalent d’une ville de 120000 habitants en électricité et ceci, sans oublier les nombreuses infrastructures créées pour ces moyens de transport.
Si les rames sont complètes, pas de souci, l’économie est réel. Mais du moment qu’elles ne sont pas complètes, l’économie devient moindre, nulle, voir, négative.
C’est pourquoi, plus que de favoriser les transports en commun, il y a mieux encore : favoriser la marche à pied, le vélo, le skate, le roller... Et éviter au mieux les trajets inutiles.