L’emballage individuel est bien pratique pour déguster son goûter ou son diner dans des conditions idéales. Mais en même temps, le coût écologique de cette utilité est monstrueux : on multiplie d’autant les emballages, qui vont bien trop souvent finir jetés dans la nature.

On a beau éduquer sur le respect à l’environnement, on a beau multiplier les lois contre les pollueurs, on a beau redoubler d’efforts pour récupérer le plus de déchets possibles, la quantité de déchets finissant dans la nature ne cesse d’augmenter et se voit à tout les niveaux, tant dans nos plans d’eaux de proximité que dans l’océan, mais aussi dans tout les autres milieux, que ce soit sur nos routes ou partout ailleurs : forêts, montagnes, plaines, champs, j’en passe et des meilleurs.

Alors, si l’on ne peut plus maitriser nos déjections, pourquoi ne pas maitriser leur composition et leur nombre ? Pour ce faire, une solution simple devrait rapidement se mettre en place : taxer chaque emballage produit. Ceci tant en terme de quantité qu’en terme de composition.
C’est à dire qu’un paquet de gâteaux ou chaque gâteau est emballé individuellement sera taxé d’autant d’emballage que contient le paquet de gâteau. Et si l’emballage est non recyclable, la taxe en sera d’autant plus importante.
Si par contre l’emballage est biodégradables et que le paquet ne contient qu’un emballage, la taxe sera d’autant réduite voir tout simplement supprimée ; ceci pour limiter davantage le nombre d’emballage et pour inciter les fabricants à opter pour des matériaux biodégradables intégraux, encres comprises.

Car la plupart des déchets qu’on trouve dans la nature sont issus des produits à succès : mac donald’s, coca cola, bière locales, bouteilles d’eaux locales, canettes (redbull, coca cola, sprite), bouteilles en verre, entre autres.
Vu la pollution généralisée, il est urgent d’instaurer des mesures aux résultats rapides, et cela devra passer aussi par les fabricants qui sont, en partie, responsables de cette pollution.